Paule Amoreau, épouse de Pierre-Robert et mère de Jean Pierre, en l’absence des hommes enrôlés dans l’armée, vinifie la vendange comme elle l’avait fait depuis le début de la guerre. Un grand millésime pour le Puy : « belle robe café serré. Nez aux arômes de fruits sucrés, amandes fumées. Bouche ferme avec une rétro saveur persistante. Fin de bouche élégante et généreuse. Vin d’une grande dame qui éveille une merveilleuse nostalgie. »